À 30 ANS, TOUT COMMENCE.

AXELLE, 26 ANS EN JUIN 2021

À 30 ANS, TOUT COMMENCE.

QUAND POUR D'AUTRES,
TOUT BASCULE.

+79 % cas de cancer chez les jeunes adultes.
Accélérez la recherche pour les générations de demain :
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AXELLE, 29 ANS AOÛT 2024

AUGMENTATION INEXPLIQUÉE DES CAS DE CANCER CHEZ LES JEUNES ADULTES

À 30 ans, les projets sont infinis : acheter son premier appartement, obtenir une promotion au travail, fonder une famille, voyager… À 30 ans, tout commence, quand pour d'autres, tout bascule… avec l'annonce d'un cancer.

Le constat est préoccupant avec une hausse des cas de cancer chez les jeunes adultes (entre 20 et 40 ans) ainsi que du nombre de décès associés : +27,7 %*.

IL S'AGIT D'UN ENJEU DE SANTÉ PUBLIQUE MAJEUR !

En tant qu'acteur reconnu en cancérologie, Gustave Roussy lance l'alerte et mobilise ses moyens et ses talents médico-scientifiques avec le programme précurseur « Un cancer à 30 ans ». Notre objectif est de comprendre les causes favorisant l'apparition du cancer parmi cette tranche d'âge et de caractériser ces cancers, ce qui nous permettra de développer des stratégies de prévention et de traitements sur mesure pour ces patients et de sauver plus de vies, tout en préservant leur qualité de vie.

* Zhao et al. BMJ Oncology 2023.

POURQUOI UNE TELLE AUGMENTATION ?

Exposition aux polluants environnementaux, prise d'antibiotiques dans l'enfance, perturbateurs endocriniens, sédentarité, alimentation, prédispositions génétiques… De nombreuses hypothèses sont avancées, il est urgent d'agir !

MAIS POUR RÉUSSIR, VOTRE DON EST INDISPENSABLE :
LA RECHERCHE NE SE FERA PAS SANS VOUS !

1236 PERSONNES ONT RÉPONDU À NOTRE APPEL. REJOIGNEZ-LES !

LEUR VIE A BASCULÉ… MAIS LA RECHERCHE LEUR A SAUVÉ LA VIE !

Ils avaient la vie devant eux quand le diagnostic du cancer est tombé. Le programme « Un cancer à 30 ans » est un espoir pour ces patients, leur famille, mais aussi pour les générations futures. Ne laissons pas le cancer donner un coup d'arrêt à leurs projets !

ÉMILIE T, 40 ANS, TOUCHÉE PAR UN CANCER DU CÔLON MÉTASTATIQUE

Tout va très vite, je suis passée de l'autre côté de la barrière. »

« Une prise de sang de routine révèle que mon taux de fer est bas. Rien d'alarmant, je prends des comprimés, mais mes analyses restent inchangées. Je dois faire une coloscopie et une fibroscopie que je repousse. Presque un an après mes analyses, je fais ces examens et le diagnostic tombe : j'ai un cancer du côlon métastatique de stade 4 à 39 ans. Je suis suivie à Gustave Roussy par le Dr Cristina Smolenschi qui me parle des traitements et des nouvelles recherches sur ce cancer. Je savais que j'étais au bon endroit. Mon protocole comprend 4 séances de chimiothérapie puis une opération des métastases hépatiques et du côlon. Je ne sais plus si j'ai eu peur. J'ai surtout pensé à mes enfants de 14 et 10 ans, et à mes parents. Je ne connais pas mon avenir, mais j'ai espoir et c'est grâce aux dons et à la recherche. »

LEUR VIE A BASCULÉ… MAIS LA RECHERCHE LEUR A SAUVÉ LA VIE !

« Un cancer à 30 ans » est un espoir pour ces patients, leur famille, mais aussi pour les générations futures. Ne laissons pas le cancer donner un coup d'arrêt à leurs projets !

Cédric V., 46 ans, touché pas un cancer du poumon à 34 ans

« Je me décompose et je demande si je vais mourir. »

« Je ressentais une douleur à la poitrine très forte avec des douleurs intercostales en continu, à tel point que je n'arrivais plus à dormir. On me prescrit un PET-scan qui montre des tâches au niveau de la plèvre et du poumon. Je suis opéré pour prélever un morceau de poumon. Sur le moment, je ne m'affole pas, mais quelques semaines plus tard, le couperet tombe : j'ai des cellules cancéreuses. On m'annonce que j'ai 5 % de chance de survie. Mon médecin quittant prochainement l'hôpital, je décide d'aller à l'institut Gustave Roussy où je suis soigné par le Pr Besse. Je commence la chimiothérapie, puis la radiothérapie et enfin une dernière chimiothérapie qui m'a donné beaucoup d'effets secondaires. J'ai aussi pris plus de 25 kg, lié à l'arrêt du tabac et à la cortisone. Mais 10 ans après le diagnostic, je suis guéri ! Le cancer est le mal du siècle, il faut donner pour accélérer la recherche. J'ai eu la chance que cela se passe bien pour moi, mais cela n'est pas le cas pour tout le monde. »

LEUR VIE A BASCULÉ… MAIS LA RECHERCHE LEUR A SAUVÉ LA VIE !

Ils avaient la vie devant eux quand le diagnostic du cancer est tombé. Le programme « Un cancer à 30 ans » est un espoir pour ces patients, leur famille, mais aussi pour les générations futures. Ne laissons pas le cancer donner un coup d'arrêt à leurs projets !

AXELLE D, 29 ANS TOUCHÉE PAR UN CANCER DU SEIN

À 29 ans, je me suis dit que ce n'était pas possible de vivre tout ça. »

« J'ai commencé à sentir une masse dans le sein gauche. Même sans palper, on voyait que j'avais une boule. Je vais chez mon médecin qui me prescrit une échographie et une mammographie. Le verdict tombe : j'ai bien un cancer du sein. Je suis reçue à Gustave Roussy par le Dr Elie Rassy. J'enchaîne les rendez-vous (prise de sang, imagerie…) et j'apprends que j'ai un cancer hormonodépendant. Suite au traitement, je perds mes cheveux : l'image de soi, se regarder dans le miroir fut difficile. Mais je n'ai pas eu trop d'effets secondaires. Le 22 août 2024, je subis une mastectomie avec une reconstruction immédiate et un curage axillaire : on m'enlève les ganglions atteints. J'ai aussi eu une hormonothérapie par voie orale, mais je vais peut-être entrer dans un essai clinique pour tester une autre forme d'hormonothérapie avec moins d'effets secondaires. Je suis sereine et confiante pour l'avenir ! »

LEUR VIE A BASCULÉ… MAIS LA RECHERCHE LEUR A SAUVÉ LA VIE !

« Un cancer à 30 ans » est un espoir pour ces patients, leur famille, mais aussi pour les générations futures. Ne laissons pas le cancer donner un coup d'arrêt à leurs projets !

ZAHIA B, 42 ANS TOUCHÉE PAR UN CANCER DU CÔLON

Je pleure, je pense immédiatement à mes enfants de 13 et 8 ans. »

« Au cours du premier trimestre de grossesse, mon médecin me soigne pour une gastro-entérite. Les symptômes ne passant pas, mon mari m'emmène aux urgences. On m'annonce que j'ai une occlusion intestinale. Après l'opération, d'autres examens sont réalisés : j'ai un cancer du côlon métastasé au foie. J'ai 39 ans et une bonne hygiène de vie : j'ai les jambes sciées. Mon dossier est transféré à Gustave Roussy et je suis reçue par le Dr Cristina Smolenschi. Elle me dit que l'on va me traiter et que ce sera sans séquelle pour mon bébé. J'ai eu 11 séances de chimiothérapie et j'ai pu profiter de ma grossesse ! Après l'accouchement de mon fils, j'ai été opérée et j'ai pris une chimiothérapie orale. J'ai quelques séquelles neurologiques, mais j'ai la chance d'avoir pu être soignée. Le cancer peut toucher n'importe qui, il faut faire progresser la recherche. »

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ÉMILIE T, 40 ANS,
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UN CANCER DU SEIN
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TOUCHÉE PAR UN
CANCER DU CÔLON

POURQUOI UNE TELLE AUGMENTATION ?

Exposition aux polluants environnementaux, prise d'antibiotiques dans l'enfance, perturbateurs endocriniens, sédentarité, alimentation, prédispositions génétiques… De nombreuses hypothèses sont avancées, il est urgent d'agir !

Un cancer à 30 ans
Un programme porteur despoir pour les générations de demain

Aujourd'hui, malgré des avancées significatives en oncologie, le pronostic de nombreux cancers des 20-40 ans est plus sombre que pour des tumeurs similaires chez les enfants ou les personnes âgées.

Avec notre programme « Un cancer à 30 ans », nous développons la médecine de précision spécifiquement chez les jeunes adultes pour répondre au défi croissant des cancers diagnostiqués avant l'âge de 40 ans. Ce programme se divise en trois axes afin de répondre de façon globale à la problématique.

1

Identifier les causes des cancers à début précoce pour réduire le risque de cancer et mieux diagnostiquer les cancers à un stade précoce.

2

Étudier les caractéristiques moléculaires des cancers parmi cette tranche de la population pour identifier de nouveaux biomarqueurs de réponse et de résistance au traitement.

3

Identifier les problèmes auxquels les jeunes adultes peuvent être confrontés après un cancer, notamment les problèmes de fertilité et des troubles cognitifs.

GUSTAVE ROUSSY, L’EXCELLENCE
AU SERVICE DE LA PRISE
EN CHARGE DU CANCER

CHEZ LES JEUNES ADULTES

1er
CENTRE EUROPÉEN

de lutte contre le cancer et 4e au rang mondial

0
ANS

de recherche et d’innovation pour guérir le cancer au 21e siècle

0

soignants et médecins

0

équipes de recherche