Ensemble,

faisons de la médecine sur mesure

une réalité contre les cancers du sein.

Mobilisons-nous pour la recherche contre le cancer du sein

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PRÉDIRE LA RECHUTE POURSAUVER PLUS DE VIES

Chaque année, plus de 60 000 femmes sont touchées par un cancer du sein en France. Aujourd’hui, la plupart suivent un protocole standard… alors que chaque cancer du sein est unique.

Avec « 50 nuances de rose », Gustave Roussy veut changer la donne : développer une médecine prédictive capable d’évaluer, dès le diagnostic, le risque de rechute de chaque femme.
En fonction de ce niveau de risque, la stratégie thérapeutique sera nuancée. Pour celles qui en ont besoin, les protocoles seront renforcés, pour celles dont le risque de rechute est mineur, le protocole sera allégé permettant ainsi de préserver leur qualité de vie.

Objectif : offrir à chaque femme un traitement sur-mesure pour maximiser ses chances de guérison et maintenir la meilleure qualité de vie possible.

POUR TOUTES LES NUANCES DE FEMMES,

CRÉONS TOUTES LES NUANCES DE TRAITEMENTS.

SOUTENEZ CETTE RÉVOLUTION !

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Femme
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cancer du sein

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Femmes

+ 80%

d’entre elles auront un
traitement adjuvant

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DES PATIENTES

suivent une radiothérapie
post-chirurgie, avec des risques de séquelles

Pour toutes les nuances de femmes,

développons toutes les nuances de traitements !

“À 50 ans, je fête la vie !”

“En septembre 2021, quand on m’a annoncé que j’avais un cancer triple négatif, j’ai tout de suite pensé à la mort. J’ai commencé par 18 séances de chimiothérapie, j’ai eu l’ablation de mon sein gauche, puis de la radiothérapie. Aujourd’hui, je suis toujours en parcours de soins pour la douleur, mais je vais super bien, parce que je suis en vie ! Cela reste compliqué : j’ai beaucoup de neuropathies, essentiellement au niveau des mains et des pieds et dans la zone de mon ablation. J’ai aussi des sécheresses buccales, des problèmes de dos également.

Pendant les traitements, j’ai eu des diarrhées, des pertes de mémoire (encore aujourd'hui), des nausées liées notamment aux odeurs, j’ai perdu quatre dents et aussi 11 kilos. Je me suis rendu compte que pendant les traitements, et encore aujourd'hui, le sport dans un parcours de soin est important. J’avais un rêve de faire le marathon de Paris et je l’ai réalisé ! Ce n’est pas un défi facile, mais ce fut exceptionnel. Je dois la vie à Gustave Roussy, ils font un travail exceptionnel en recherche. Plus on donnera pour la recherche, plus mon rêve se réalisera : un monde sans cancer. J’ai le droit de rêver !

Christine, touchée par un cancer du sein triple négatif
« Les effets secondaires m’ont fait vivre un cauchemar sans fin. »

« J’ai appris que j’avais un cancer du sein triple négatif à 30 ans. Cette annonce a été un énorme choc, je ne m’y attendais pas, je n’y croyais pas. Je me disais que les médecins s’étaient trompés. Les équipes de Gustave Roussy m’ont expliqué mon parcours de soins étape par étape : chimiothérapie, opération, radiothérapie puis immunothérapie. J’ai eu beaucoup d’effets secondaires : nausée, vomissement, neuropathie (c’était une horreur, je n’étais pas prête !). Mais je me suis sentie très bien pris en charge. Le Dr Delaloge a été exceptionnelle, je lui en serai éternellement reconnaissante. Elle m’a rassurée et a été à mon écoute.

L’impact dans ma vie a été important : à 30 ans, j’ai dû mettre sur pause mes projets. Mes proches pensaient me dire des mots réconfortants « Tu es forte », « Tu vas te battre », alors que j’étais terrifiée et que je ne me sentais pas du tout comme ça. Ces mots faisaient peser sur mes épaules la réussite ou non de ma guérison. Aujourd’hui, je viens de terminer ma dernière séance. Je suis en rémission complète depuis mon opération. Je rentre dans la phase de surveillance rapprochée. Il y a un risque de récidive dans le cancer du sein triple négatif dans les mois ou les années à venir. Ce serait compliqué pour moi de devoir revivre tous les effets secondaires. C’est important de soutenir la recherche pour avoir une prise en charge personnalisée. »

Kassy, touchée par un cancer du sein triple négatif
“Avoir un cancer à 34 ans, ce n’est pas anodin.”

“Au début de mon parcours, j’ai été suivie à Melun : on était dans l’urgence de traiter la maladie et de me soigner. L’aspect effets secondaires n’a pas été pris en considération et j’ai ensuite été suivie à Gustave Roussy. Durant mon parcours de soins, j’en ai eu de nombreux : bouffées de chaleur, fatigue, insomnies, douleurs musculaires, sécheresse vaginale, perte de la libido…
dans le cadre de mon suivi, j’ai participé à une journée de Transition où j’ai pu échanger avec d’autres femmes, des intervenants et des médecins. Ces soins “d’à-côté” sont très importants, car on ne sent moins seule face aux effets secondaires, il y a un spécialiste pour nous répondre. On ne vous laisse pas tomber ! Il y a vraiment un suivi attentionné pour chaque chose du quotidien. Je suis très contente d’être suivie à Gustave Roussy. Je pense qu’il est primordial de prendre en compte tous les aspects de la maladie pour que chaque patient puisse guérir, mais guérir bien. Il faut continuer à développer ces soins d’à-côtés, qui sont vitaux pour le bien-être des patients.”

Karen, touchée par un cancer du sein hormonodépendant
“Quand on est malade, on se dit que maintenant on n’a plus qu’à guérir.”

“Lorsque les équipes de Gustave Roussy m’annoncent que j’ai un cancer, je ne m’y attends pas. J’ai 29 ans et aucun antécédent dans ma famille. J’ai de la chimiothérapie et je perds mes cheveux, toute ma pilosité est affectée. Je n’ai pas eu tant d’effets secondaires, surtout une grande fatigue au départ qui m’a clouée au lit.

J’ai subi ensuite une mastectomie. Je suis restée 3 jours à l’hôpital, j’ai été chouchoutée et le personnel soignant a été génial. Cela m’a fait un énorme coup au moral quand on m’a enlevé le bandage. Ce n’est pas rien de perdre un sein ! Une fois la chambre implantable pour la chimiothérapie enlevée, j’ai commencé 22 séances de radiothérapie et une hormonothérapie en oral. Et bientôt, je vais peut-être rentrer dans un essai clinique pour tester une autre forme d’hormonothérapie avec moins d’effets secondaires. À aucun moment, je n’ai été inquiète, je ne me suis jamais dit que ma vie était en danger, au contraire, j’étais combative. Mais il faut prendre conscience que cela n’arrive pas qu’aux autres !

Axelle, touchée par un cancer du sein hormonodépendant
Kassy M., touchée par un cancer du sein triple négatif

« En 2020, j’ai appris que j’avais une tumeur au sein droit. À l’époque, j’étais soignée en province où j’ai eu une mastectomie totale suivie d’une chimiothérapie, puis d’une hormonothérapie. J’ai pu reconstruire mon sein droit et j’ai demandé une mastectomie prophylactique du sein gauche qui a été acceptée. Malheureusement, 3 mois après, j’ai eu une récidive au même endroit qu’au cancer précédent. Ce fut un choc.

De là, j’ai été suivie à Gustave Roussy. J’ai été opérée pour enlever la tumeur et ensuite j’ai suivi une radiothérapie chez moi. On m’a ensuite proposé une autre hormonothérapie, et surtout de participer à l’essai clinique POLAR qui se déroule durant 3 ans, évaluant les résultats du palbociclib pour le cancer du sein hormonodépendant avec une récidive locale. Ce médicament a fait ses preuves dans le cas de cancer du sein métastatique et est commercialisé aujourd'hui. Je suis chanceuse de bénéficier de ce traitement et de contribuer à la recherche. Je n’ai eu que peu d’effets secondaires, je peux vivre une vie normale ! Je suis entre de bonnes mains à Gustave Roussy. J’espère qu’à terme toutes les femmes pourront être soignées et bénéficieront d’un traitement innovant pour qu’elles vivent le plus longtemps possible. Il faut donner à Gustave Roussy pour la recherche afin de trouver les nouveaux traitements et de mieux accompagner les patients. »

Chloé, touchée par un cancer du sein hormonodépendant

L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE AU SERVICE D’UNE MÉDECINE SUR-MESURE

LE PRINCIPE

Donner à chaque femme la possibilité de connaître son risque de récidive.
Pour le mesurer, l’intelligence artificielle va analyser des milliers de données cliniques et biologiques de patientes pour comprendre les signes de la récidive invisibles à l’œil humain.

Une fois ce score de risque établi et validé dans le cadre d’études cliniques, les oncologues pourront s’appuyer sur cette nouvelle donnée et déterminer une prise en charge sur-mesure dès le diagnostic.

Le résultat attendu
Ce module doit délivrer des tests prédictifs fiables.

Ces nouveaux outils d’aide à la décision pour les oncologues aideront à établir un plan thérapeutique plus personnalisé, basé sur le risque de rechute, et plus uniquement sur les seuls paramètres de :
- la caractérisation biologique
- la taille de la tumeur
- la localisation de la tumeur.

Ils permettront de moduler la durée et l’intensité des traitements adjuvants.
Ces traitements visent à éviter les récidives mais peuvent générer des effets secondaires parfois très lourds.

Les bénéfices

Plus de vies sauvées pour celles dont le risque de rechute est élevé et une qualité de vie préservée pour celles dont le risque de rechute est faible.

réduire l’impact de la maladie
et de ses traitements

Il y a autant de nuances de rose que de types de cancers du sein différents. Chaque cancer est unique, son traitement doit l’être aussi. Avec l’intelligence artificielle, une révolution s’annonce.

Elle peut commencer aujourd’hui grâce à votre soutien !

Dr Barbara Pistilli

cheffe du comité de pathologies mammaires

Soutenez une vraie révolution contre les cancers du sein

Vos dons en action !

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Soit 27,20 € après déduction fiscale.

Vous participez au financement de l’équipement du laboratoire dédié à l’intelligence artificielle.

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Soit 51 € après déduction fiscale.

Vous contribuez à la réalisation de la biopsie d’une patiente touchée par un cancer du sein.

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Soit 120 € après déduction fiscale.

Vous financez en partie le recrutement d’un analyste spécialisé en intelligence artificielle.

Contre le cancer du sein, 3 façons d’agir

Le don ponctuel

Vous faites un don en faveur de la recherche sur le cancer du sein et 66 % de son montant sont déductibles de votre impôt sur le revenu, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable.

Un don de

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Le parrainage

Devenez parrain de l’équipe de chercheurs contre le cancer du sein et soyez membre à part entière de ce Labo.

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Vous recevez de l’information régulière, êtes invité(e) chaque année à rencontrer cette équipe dans son laboratoire et bénéficiez de 66% de déduction fiscale sur l’ensemble de vos dons.

La cagnotte en ligne

Devenez Ambassadeur en créant votre cagnotte de dons en ligne 100 % sécurisée et 100 % reversée à Gustave Roussy contre le cancer du sein.

À quelle occasion ?

Un défi sportif

Un anniversaire

En mémoire d’un être cher

Gustave Roussy,

L’excellence pour guérir tous les cancers

Grâce aux progrès médico-scientifiques, 4 femmes sur 5 guérira de son cancer du sein. Outre l’enjeu de parvenir à des taux de guérison complets, nous devons améliorer la qualité de guérison de chaque femme.

Gustave Roussy mobilise les plus grands chercheurs français et internationaux pour développer de nouvelles approches thérapeutiques plus personnalisées et moins invasives.

L’Institut met à leur disposition du matériel de pointe et les dernières technologies pour concrétiser son ambition : guérir le cancer au 21e siècle.

1
équipe

de recherche INSERM dédiée aux pathologies mammaires

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Patientes

vues en consultation en 2024 pour un cancer du sein

En 20 ans
0
PERSONNES

ont bénéficié du parcours diagnostic en 1 jour,

permettant de réduire les
délais de prise en charge